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mardi 26 novembre 2013
innovation Aquagreen : conférence traitement des lacs le 6 décembre 2013 à Orsay pour présenter les résultats d'une expérimentation
J'ai le plaisir de convier les acteurs de l'eau à la conférence que nous organisons pour présenter les résultats remarquables que nous avons obtenus sur le lac du Mail à Orsay, pour traiter les problèmes d'eutrophisation;
Aquagreen, imaginée et développée par INNOGUR technologies, est une plateforme solaire et végétalisée pour le traitement autonome des plans d'eau.
Nous avons été retenu parmi les 45 premiers projets qui ont bénéficié du soutien de la Région Ile-de-France lors de la première promotion des AIXPé, visant l'expérimentation in situ d'innovations sur le territoire.
http://www.parisregionlab.com/actu/107
Avec le levier de l'association NOVAGREEN, nous avons pu concrétiser l'expérimentation avec la Ville d'Orsay, qui a débuter en juin dernier, et se clôt début décembre.
Le démontage de l'installation commencera après la conférence.
Le développement d'Aquagreen est un exemple de l'application de notre méthode d'innovation gagnante. Nous avons intégré plusieurs savoir-faire.
L'approche multi-fonctionnelle permet de répondre à différents usages.
La fonction principale est le traitement par apport d'un volume important d'oxygène atmosphérique.
Les fonctions secondaires répondent à diverses attentes, qui peuvent toutes être ciblées commercialement, comme par exemple :
- un ponton flottant
- une production d'énergie solaire
- une végétalisation et fleurissement
- une action sur la diversité
- le contrôle de la pollution en temps réel
Cette approche permet de cibler plusieurs groupes de clients potentiels.
Différentes technologies ont été développées pour réaliser les fonctions.
La technologie est donc intégrées comme une réponse à différentes satisfactions / besoins exprimés ou nouveaux.
La conférence du 6 décembre, sera innaugurée Par Monsieur David ROS, maire d'Orsay. Différentes interventions permettront d'en savoir plus sur la réglementation sur l'eau (Directive européenne), l'eutrophisation.
Nous présenterons les résultats de l'expérimentation en terme d'efficacité de traitement des pollutions, l'intégration paysagère, d'acceptation par les riverains. Enfin nous présenterons notre plan d'expérience 2014, avec la recherche de 10 nouveaux sites pilotes.
lien vers l'invitation : http://www.innogur.com/aquagreen/invitation-orsay-6_dec_2013.pdf
lien vers l'inscription en lige (obligatoire) : https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?usp=sharing&formkey=dGx4WVlWQm9sMS03MmJZbW1vOHNzcVE6MA#gid=0
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vendredi 8 novembre 2013
le nouveau statut d' "étudiant entrepreneur" , créateur d'entreprise innovante ou nouvelle
source : http://www.clubdesentrepreneurs.org/creation-du-statut-detudiant-entrepreneur-des-paroles-mais-quels-actes/
à noter :
mardi 22 octobre, Geneviève Fioraso, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a en effet annoncé la naissance du statut « étudiant entrepreneur »
Une avancée pour les 2 à 4 % des 2,3 millions d’étudiants français qui créent leur « boite » au cours de leur cursus ; un tremplin pour ceux qui l’envisageaient, sans passer à l’acte. «Notre objectif est de parvenir à 20.000 créations ou reprises d’entreprises par des jeunes issus de l’enseignement supérieur» à préciser la ministre en rendant public, ce nouveau statut.
Aussi s’adresse-t-il aux étudiants en cours de formation, dont le projet entrepreneurial pourra être pris en compte pour la validation de leur diplôme, via la délivrance de crédits ECTS et aux jeunes déjà diplômés souhaitant créer leur entreprise. Pour ce faire, tous devront s’inscrire à un DU (Diplôme Universitaire) » Création d’entreprises innovantes et entrepreneuriat ».
Une démarche qui les amènera à bénéficier d’une formation à l’entrepreneuriat et à la gestion afin d’appréhender toutes les questions relatives à la création d’entreprise.
à noter :
mardi 22 octobre, Geneviève Fioraso, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a en effet annoncé la naissance du statut « étudiant entrepreneur »
Une avancée pour les 2 à 4 % des 2,3 millions d’étudiants français qui créent leur « boite » au cours de leur cursus ; un tremplin pour ceux qui l’envisageaient, sans passer à l’acte. «Notre objectif est de parvenir à 20.000 créations ou reprises d’entreprises par des jeunes issus de l’enseignement supérieur» à préciser la ministre en rendant public, ce nouveau statut.
Aussi s’adresse-t-il aux étudiants en cours de formation, dont le projet entrepreneurial pourra être pris en compte pour la validation de leur diplôme, via la délivrance de crédits ECTS et aux jeunes déjà diplômés souhaitant créer leur entreprise. Pour ce faire, tous devront s’inscrire à un DU (Diplôme Universitaire) » Création d’entreprises innovantes et entrepreneuriat ».
Une démarche qui les amènera à bénéficier d’une formation à l’entrepreneuriat et à la gestion afin d’appréhender toutes les questions relatives à la création d’entreprise.
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création entreprise,
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méthode d'innovation,
porteur de projet
Propositions pour le startupeuriat et pour stopper les 90% de mortalité !
article de BNP Paribas
http://www.atelier.net/trends/articles/essor-startupeuriat-exige-de-meilleurs-accompagnements-financements_424434#!
Alors qu’elles représentent les organisations les plus porteuses en termes de croissance et d’innovation, plus de neuf start-up sur dix échoueraient aujourd’hui en France par défaut d’accompagnement et de financement.
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innovation gagnante,
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statistiques
innovation : le communiqué de presse du gouvernement pour relancer l'innovation en France "nouvelle donne pour l'innovation
Je découvre aujourd'hui le communiqué de presse du gouvernement pour relancer l'innovation en France.
S'il est accompagné d'actions concrètes, j'y retiens de bonnes choses :
- ouvrir toutes les formes d'innovation (ce que je traduis comme la révision des critères d'éligibilités au financement public de recherches qui ne seraient pas inspirées des sciences de l''ingénieur !).
Voici ce que précise le communiqué sur l' Action emblématique : soutenir l’innovation dans toute sa diversité, de l’innovation technologique au marketing ou au design.
"Notre vision de l’innovation est très marquée par la R&D : c’est pour cela que Bpifrance, dans le cadre du
nouveau programme d’investissements d’avenir ne soutiendra pas uniquement les projets innovants à
forte intensité technologique mais aussi les nouveaux concepts, les nouveaux modèles économiques,
les projets entre designers et entreprises engagées dans une démarche d’innovation."
Cette ouverture marque un (petit) pas vers les objectifs de ce blog : intégrer davantage le marketing de l'innovation dans notre économie.
- impulser dès l'école une propension à créer et à accepter la nouveauté, lorsque l'on sait la résistance au changement qui nous colle à la peau. Je suis convaincu que cette résistance commence dans l'enseignement et l'éducation que l'on reçoit petit, dans la manière d'imposer les "bonnes" ou "mauvaises" pratiques, dans les fausses croyances (cognitions). On nous apprend essentiellement à refaire, parfois à faire, et rarement à inventer, ou réinventer.
- donner plus de poids aux régions pour faciliter des projets liés aux territoires
- lever les barrières à la création de "start-up pour tous", à l'instar des autoentrepreneurs, avec, je l'espère, différents leviers pour faciliter l'accompagnement des porteurs de projets aux profils très distincts, sinon ce sera un carnage
- développer le capital investissement
- suivre des indicateurs de réussite des politiques de l'innovation : quid du taux d'accompagnement des porteurs des projets selon des protocoles de gestion de l'innovation pertinents (ce qui est très différents des statistiques des certains organismes qui affichent des nombres de porteurs de projets ayant été reçus par eux) ?
Par contre, je ne vois rien concernant :
- la gestion et la méthodologie d'innovation : il demeure un sentiment de science non exacte, où l'innovation s'apparente toujours à une loi du grand nombre, et de "coup de poker" hasardeux, que seule une grande quantité d'idée permettra de contrecarrer selon une approche quantitative et moins qualitative.
Dans d'autres cas, l'argent parait le seul remède au succès de projet innovant. Dans d'autres cas encore, les rencontres de compétences variées pourraient faciliter le développement des idées. Mais il n'est jamais question d'inciter au développement d'une méthodologie scientifique permettant de rationaliser ou de sécuriser une innovation.
- la méthode de sélection des innovations qui seront soutenues : on le sait, la sélection n'est pas homogène, puisque moins de 10% des projets émergents sont aidés financièrement. ALors pourquoi d'un coté inciter à innover, si de l'autre, on ferme la porte. Les protocoles d'analyses doivent être méthodiques selon des approches spécifiques à l'"innovation et uniformes partout en France, et non spécifiques à des business modèles qui ne veulent rien dire compte tenu des hypothèses souvent bâclées qui sont faites.
- les modes de financement collaboratif type crowdfounding ?
- la simplification des démarches de financement public, véritable frein à l'initiative
- le développement d'un parcours INNOVATION, mettant en relations étroites formation / innovation / accompagnement
Les mesures emblématiques
L’innovation par tous
- Donner aux jeunes l’envie d’innover et de devenir entrepreneurs, leur faire confiance et leur
donner les moyens de leurs ambitions, en formant à la culture de projet, du travail collaboratif, en
encourageant les liens avec les entreprises tout au long du cycle de formation, de la maternelle
à l’université
- Soutenir l’innovation dans toute sa diversité : de l’innovation technologique, de rupture ou
incrémentale, au marketing, au design et à l’innovation de procédés
- Attirer les talents de l’innovation en France par la mise en place d’un programme « nouveaux
argonautes »
- Permettre à tous de créer une start-up quel que soit le point de départ, avec la création d’une
« bourse des nouveaux entrepreneurs »
L’innovation ouverte
- Accompagner les régions dans la mise en place de la gouvernance de l’innovation dans les
territoires, au plus près des besoins des entreprises innovantes
- Favoriser le transfert de la recherche publique par un meilleur cadre pour la gestion de sa
propriété intellectuelle
- Mobiliser les grands groupes à travers un « partenariat pour l’innovation ouverte »
- Rapprocher les chercheurs des entreprises en créant des laboratoires communs recherche
publique/PME
L’innovation pour la croissance
- Consolider en France une nouvelle « industrie du financement de l’innovation » en améliorant
l’impact des dispositifs en faveur du capital-investissement et de l’action des business angels
- Renforcer le pôle innovation de Bpifrance par un plan ambitieux (Nova), afin d’accompagner la
croissance des PME innovantes pour en faire des ETI de rang mondial, au service des dynamiques
régionales
- Se doter d’une stratégie offensive pour la propriété intellectuelle en créant un fonds souverain de
propriété industrielle pour soutenir les filières émergentes
L’innovation publique
- Mettre en place une commission d’évaluation des politiques d’innovation au sein du Commissariat
général à la stratégie et à la prospective
Un nouvel instrument : le Fonds national d’innovation dans le cadre du programme
d’investissements d’avenir
le communiqué complet : http://www.invest-in-france.org/Medias/Publications/2244/Nouvelle-donne-pour-innovation-France-dossier-presse-2013.pdf
S'il est accompagné d'actions concrètes, j'y retiens de bonnes choses :
- ouvrir toutes les formes d'innovation (ce que je traduis comme la révision des critères d'éligibilités au financement public de recherches qui ne seraient pas inspirées des sciences de l''ingénieur !).
Voici ce que précise le communiqué sur l' Action emblématique : soutenir l’innovation dans toute sa diversité, de l’innovation technologique au marketing ou au design.
"Notre vision de l’innovation est très marquée par la R&D : c’est pour cela que Bpifrance, dans le cadre du
nouveau programme d’investissements d’avenir ne soutiendra pas uniquement les projets innovants à
forte intensité technologique mais aussi les nouveaux concepts, les nouveaux modèles économiques,
les projets entre designers et entreprises engagées dans une démarche d’innovation."
Cette ouverture marque un (petit) pas vers les objectifs de ce blog : intégrer davantage le marketing de l'innovation dans notre économie.
- impulser dès l'école une propension à créer et à accepter la nouveauté, lorsque l'on sait la résistance au changement qui nous colle à la peau. Je suis convaincu que cette résistance commence dans l'enseignement et l'éducation que l'on reçoit petit, dans la manière d'imposer les "bonnes" ou "mauvaises" pratiques, dans les fausses croyances (cognitions). On nous apprend essentiellement à refaire, parfois à faire, et rarement à inventer, ou réinventer.
- donner plus de poids aux régions pour faciliter des projets liés aux territoires
- lever les barrières à la création de "start-up pour tous", à l'instar des autoentrepreneurs, avec, je l'espère, différents leviers pour faciliter l'accompagnement des porteurs de projets aux profils très distincts, sinon ce sera un carnage
- développer le capital investissement
- suivre des indicateurs de réussite des politiques de l'innovation : quid du taux d'accompagnement des porteurs des projets selon des protocoles de gestion de l'innovation pertinents (ce qui est très différents des statistiques des certains organismes qui affichent des nombres de porteurs de projets ayant été reçus par eux) ?
Par contre, je ne vois rien concernant :
- la gestion et la méthodologie d'innovation : il demeure un sentiment de science non exacte, où l'innovation s'apparente toujours à une loi du grand nombre, et de "coup de poker" hasardeux, que seule une grande quantité d'idée permettra de contrecarrer selon une approche quantitative et moins qualitative.
Dans d'autres cas, l'argent parait le seul remède au succès de projet innovant. Dans d'autres cas encore, les rencontres de compétences variées pourraient faciliter le développement des idées. Mais il n'est jamais question d'inciter au développement d'une méthodologie scientifique permettant de rationaliser ou de sécuriser une innovation.
- la méthode de sélection des innovations qui seront soutenues : on le sait, la sélection n'est pas homogène, puisque moins de 10% des projets émergents sont aidés financièrement. ALors pourquoi d'un coté inciter à innover, si de l'autre, on ferme la porte. Les protocoles d'analyses doivent être méthodiques selon des approches spécifiques à l'"innovation et uniformes partout en France, et non spécifiques à des business modèles qui ne veulent rien dire compte tenu des hypothèses souvent bâclées qui sont faites.
- les modes de financement collaboratif type crowdfounding ?
- la simplification des démarches de financement public, véritable frein à l'initiative
- le développement d'un parcours INNOVATION, mettant en relations étroites formation / innovation / accompagnement
Les mesures emblématiques
L’innovation par tous
- Donner aux jeunes l’envie d’innover et de devenir entrepreneurs, leur faire confiance et leur
donner les moyens de leurs ambitions, en formant à la culture de projet, du travail collaboratif, en
encourageant les liens avec les entreprises tout au long du cycle de formation, de la maternelle
à l’université
- Soutenir l’innovation dans toute sa diversité : de l’innovation technologique, de rupture ou
incrémentale, au marketing, au design et à l’innovation de procédés
- Attirer les talents de l’innovation en France par la mise en place d’un programme « nouveaux
argonautes »
- Permettre à tous de créer une start-up quel que soit le point de départ, avec la création d’une
« bourse des nouveaux entrepreneurs »
L’innovation ouverte
- Accompagner les régions dans la mise en place de la gouvernance de l’innovation dans les
territoires, au plus près des besoins des entreprises innovantes
- Favoriser le transfert de la recherche publique par un meilleur cadre pour la gestion de sa
propriété intellectuelle
- Mobiliser les grands groupes à travers un « partenariat pour l’innovation ouverte »
- Rapprocher les chercheurs des entreprises en créant des laboratoires communs recherche
publique/PME
L’innovation pour la croissance
- Consolider en France une nouvelle « industrie du financement de l’innovation » en améliorant
l’impact des dispositifs en faveur du capital-investissement et de l’action des business angels
- Renforcer le pôle innovation de Bpifrance par un plan ambitieux (Nova), afin d’accompagner la
croissance des PME innovantes pour en faire des ETI de rang mondial, au service des dynamiques
régionales
- Se doter d’une stratégie offensive pour la propriété intellectuelle en créant un fonds souverain de
propriété industrielle pour soutenir les filières émergentes
L’innovation publique
- Mettre en place une commission d’évaluation des politiques d’innovation au sein du Commissariat
général à la stratégie et à la prospective
Un nouvel instrument : le Fonds national d’innovation dans le cadre du programme
d’investissements d’avenir
le communiqué complet : http://www.invest-in-france.org/Medias/Publications/2244/Nouvelle-donne-pour-innovation-France-dossier-presse-2013.pdf
dimanche 3 novembre 2013
Ma Définition de l'INNOVATION GAGNANTE © ou INNOVATION POSITIVE ©, par Patrick GARCIA
Je vous livre ma définition de l'innovation Gagnante ©
J'ai récemment posté un com sur les réseaux ou j'évoquais l'intérêt de compléter le mot innovation par un ou plusieurs qualificatifs.
A l'instar de manger qui signifie aujourd'hui, répondre à un besoin primaire. Mais chacun comprendra l'intérêt de parler de "Mal'bouffe" ou "Manger sainement" ou "manger équilibré"
J'ai également eu l'occasion de parler de la distinction entre bâtiment, et bâtiment Basse consommation, ou encore bâtiment Positif (qui créée plus d'énergie qu'il n'en consomme).
Pour l'innovation, les qualificatifs les plus parlants pour moi sont Innovation Gagnante©
Je crois beaucoup également dans l'approche d' Innovation Positive © pour reprendre l'idée des fonctionnalités associées aux bâtiments positifs. L'innovation qui crée plus de richesse qu'elle n'en consomme.
En clair, l'innovation doit servir à l'économie, pour qu'elle apparaisse fonctionnelle.
Innover pour innover n'a qu'un intérêt intellectuel.
Dès lors que l'état investit des sommes considérables pour soutenir l'innovation, il n'est plus possible de parler d'innovation, sans discerner celle qui "marche" de celle qui "ne marche pas".... compte tenu des nombreux échecs commerciaux, et de la responsabilité de l'Etat dans cet acte citoyen. Décider de livrer bataille est une (bonne) chose. Trouver la bonne stratégie est autre chose ....
VOici donc ma définition en date du 3 novembre 2013 :
Pour moi, l'innovation gagnante (ou positive) est l'art de créer une nouvelle valeur
ajoutée économique exponentielle
et sécurisée répondant à une satisfaction consciente ou inconsciente de ses utilisateurs. Elle concerne toutes les sciences et les arts
, et relève des inventions, des nouveaux services, produits , procédés, ou œuvres. Elle positionne l'idée sur le marché à partir des données connues, et en s'ouvrant d'une façon créative à de nouvelles fonctionnalités marketing, nouvelles parties prenantes, nouvelles technologies qui n'avaient pas été encore associées à la fonction de base, c'est à dire les 3 leviers de l'innovation gagnante. C'est aussi étudier toutes formes de financements directs ou indirects. ©
Ce qui me parait important est pour moi d'aborder l'innovation gagnante dans une vision à long terme en prenant en compte les résultats réels.
C'est aussi qualifier l'innovation gagnante comme la combinaison d' un art nouveau dans sa partie créative, et d'une méthode de gestion.
C'est enfin affirmer la méthodologie en positionnement, à partir des 3 axes fondamentaux, et de la contrainte financière.
Le marketing de l'innovation est la science de gestion qui fournit la méthodologie de cet art.
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